Dans son livre pamphlet : "Domination de la bourgeoisie et politique de merde", Jean-Marsoual L'Esthète dénonce le système bien rôdé d'une domination masculine au service de l'argent pour faire la dette pour mettre la pression à tout le monde, domination qui n'est pas très bien cachée et qu'on devrait pas s'en rendre compte selon Léodagan de Carmélide, et qui en plus n'est même pas un complot compliqué avec des lézards de la septième compagnie planqués dans un plat à tarte volant au dessus de la maison blanche et que Mac Gyver va sauver le président in extremis déguisé en (remplisez cette partie).
Tout au long de ces 700 pages beaucoup plus soporifiques que le dernier Harry Potter, il livre un témoignage accablant sur le rapport qu'entretiennent les financiers sans scrupules avec leurs scrupules (du latin scrupulus un diminutif de scrupus qui signifie pierre pointue dans ta godasse, merci maître Capello) qui depuis leurs SPAS en or massif (volé aux druides) à bulles de chouchen très très tièdes, tapotent leurs smartphones en platine pour lancer des satellites dans l'espace, qui, parce que comme chacun sait que la terre est plate, passent en dessous trop facilement pour voir les jupes de la terre. Ce sera d'ailleurs son prochain titre de série polarisée, en trois tomes, Les jupes de la terre. Le tome 1, Léonard le renard se fait la malle, sortira en juillet aux éditions Dusnob.
Il est important de décompresser en regardant Fantômas chez la marquises des anges au pensionnat, lorsque l'urgence climato-sceptique de la fin du monde des dinosaures du 19eme siècle se met en place. Oh un météore ! Attention derrière-toi, c'est affreux ! Car après tout, pourquoi ne pas respirer un peu d'hélium avant d'aller au cinéma pour mater le nouveau Mad Max, sans Mad Max. Ou alors si, j'ai cru le voir un court instant au moment où la meuf se casse la gueule dans le désert alors qu'elle rentre chez elle juste après avoir rongé son bras on sait pas trop comment vu qu'elle était attachée de l'autre, pour échapper à une mise-à-mort sadique par le méchant (elle a quand même buté une trentaine de ses copains comme dans un jeu vidéo de tir au but, pour sauver son amoureux d'accord, mais bon) qui aime beaucoup se rendre antipathique parce qu'il a souffert jeune, le pauvre. ll n'y a pas beaucoup de psys spécialisés dans l'anthropophagisme chez les jeunes après parcoursup après la fin du monde en Australie (ce qui fait beaucoup d'après, je vous le concède). Ailleurs, on ne sait pas.
Il abuse le Miller, ses scénaristes sont nuls. Je vous raconte le début du film, attention je cafte (pas tant que ça), mais pourquoi diable les méchants brimés par leur chef et considérés comme des moins que rien (c'est eux qui le disent dans la course-poursuite qui suit leur départ précipité) ne restent-ils pas au paradis qu'ils viennent de trouver ? Genre je fais trois jours de moto sable à me crever le dos et à sentir la moufette, et je me retrouve devant une oasis avec plein de fruits, de bouffe, de gens beaux, un air respirable et de l'eau de source et ma première idée c'est de buter un cheval, de lui couper la tête comme un je préfère ne pas reparler de cet incident diplomatique et de retourner voir leur chef taré qui vous défonce pour un oui pour un non, parce que comme ça il nous estimera enfin et on pourra revenir à toute l'équipe pour tout saloper le monde qu'on vient de trouver qui sera sans doute beaucoup moins sympa que celui qu'on vient de découvrir. Saloperie d’Œdipe. J'ai jamais pu saquer les freudiens du désert. Ce qui ne fait pas de moi un anti quoique ce soit, mon psychiatre m'a quand même permis de découvrir l'opéra et les baleines du Saint-Laurent.
Bon, je veux bien comprendre que le groupe rende stupide, y'a qu'à voir le vote raciste pour des gens qui feraient forcément pire socialement, et c'est déjà pas brillant, que l'actuel (et qui d'ailleurs ont voté tout comme il voulait chaque fois) et qui seront jugés en septembre pour détournements de fond public au parlement européen. Qu'est-ce qui leur passe par la tête (de cheval) à ces votants qui croient en des sauveurs à l'envers (comme dans Mad Max pas Mad Max, notez, le subtil lien) ?
Ils ont lu les petites lignes avec les alinéas a b et c ? Se monter les uns contre et sur les autres, c'est la bonne idée, vraiment tout à fait ? On a toujours besoin d'un ennemi invisible pour cracher son venin accumulé par le venin plus haut.
Partager simplement avec les qui en ont beaucoup beaucoup beaucoup, pour créer du temps en moins de travail qui aiderait au projet de société défendu par Meurice 2027 : "Venez, on essaie d'être moins cons tous ensemble" ? Cela ne serait-il pas un poil plus malin ? Le ruissellement, enfin ! À moins que vous ne préférassiez qu'on réfléchissasse collectivement sur l'argent (dans le hall de Canal+) : à quoi sert-il, peut-on s'en passer, aurions-nous moyen de partager ces choux dans une soupe commune pour une soirée sympa, je sais couper les cheveux en quatre et vous ?
La société clivée et divisée qui en bave part à vau l'eau et veut des messies qui manipulent les chiffres comme des billes de loto, au hasard Malatazar, le célèbre magicien des grandeurs natures de mon enfance, c'est la base pour rafler la mise en bière d'une société qui pleut. Diviser pour mieux marcher sur ta main qui te nourrit pas, je peux vous en parler, moi qui ai vu la connerie dans les yeux au fond de la grotte, et qui était aussi bête que la peur sa copine (leurs mecs étaient partis chasser du mouflon à la mitraillette, allez pas me faire dire ce que je ne pense pas).
Avoir peur de quelque chose ou avoir peur de la peur elle-même, les péteux en poste élevé le savent, on ne rigole pas avec la guerre, on ne se moque pas des malheurs du monde, sinon, et bien on s'en amuse et c'est embêtant parce que ce n'est plus très sérieux et comment est-ce qu'on va faire pour que vous reveniez travailler lundi ?
Pour installer un ossuaire au cimetière, le maire a fait abattre une magnifique haie de tuyas à dix troncs qui séparait bien le haut du bas, en pleine forme, qui faisait quatre mètres de haut et dix mètres de long. Je m'y posais dessous parfois lorsque la course avec Loupette me demandait un repos haletant. J'avais l'impression de m'y sentir protégé. Je pourrais faire une métaphore avec la république française mais c'est l'heure du rameur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire